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Découvrez vos sens – L’Ouïe

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Le vent sifflant dehors par la fenêtre juste avant une tempête.
Le bruissement des feuilles qui tombent des arbres dans le jardin.
Le chant des oiseaux, le battement de leurs ailes.
Le bruit des pieds, en montant un escalier qui grince.
La sonnerie de votre réveil, après avoir appuyé sur le bouton de répétition.
C’est vraiment un privilège, le sens de l’ouïe qui nous conduit au son. Elle commence par une vibration, qui est partout à la fois, et nous guide – sans même que nous le reconnaissions – pour entendre les sons que la vibration crée. Les sons agréables ont le pouvoir de nous remonter le moral au moment où nous sommes le plus contrariés, et les sons désagréables peuvent nous faire nous sentir vraiment mal.
Pour moi personnellement, l’ouïe est un sens si précieux, car elle m’a fait découvrir les vibrations et les sons d’un de mes dons et passions innés : le chant !
J’adore chanter et, au fil des ans, j’ai réalisé à quel point le son et la musique peuvent facilement influencer les pensées, les sentiments et les émotions qui constituent notre humeur. Beaucoup de nos goûts et de nos aversions peuvent dépendre de notre état d’esprit actuel. On peut aimer le jazz ou la musique classique quand on est en vacances, le blues quand on a le cœur brisé, puis la techno, la salsa ou la disco quand on danse toute la nuit ! Ces sons nous aident à maintenir l’ambiance actuelle.


La musique et les sons évoquent certains sentiments et émotions en nous. Ils ont aussi le pouvoir de transformer complètement notre humeur. Le son de la voix de votre mère, par exemple, peut vous détendre ou vous effrayer. Le doux mouvement des vagues de l’océan qui frappent le rivage peut transformer vos sentiments de tension en un sentiment de calme. Les émotions et les sons sont étroitement liés. Ils interagissent et s’influencent mutuellement, et cette combinaison peut s’installer dans notre être et notre esprit et dicter ce que nous ressentons.
La mémoire joue également un rôle dans la façon dont nous nous situons par rapport aux différents sons. Un son familier peut stimuler un souvenir et vous ramener au moment même où vous l’avez entendu, et vous ressentez la même chose que lorsque vous l’avez ressenti pour la première fois.
La chanson de votre mariage, par exemple, vous ramènera à votre première danse, et une comptine de votre enfance pourrait vous endormir immédiatement. Nous nous rappelons comment nous étions lorsque nous avons entendu le son pour la première fois, et tous les sentiments et émotions qui étaient présents en nous à cette époque.
La mémoire attachée aux sons peut vous faire sortir complètement du moment présent, vous faisant revivre le passé, encore et encore.
C’est pour ça que j’adore la musique live. D’une certaine manière, elle nous invite à apprécier notre sens de l’ouïe d’une toute autre manière. Le spectacle en direct, en tant que combinaison de l’ouïe et de la vue, nous amène à profiter également du moment présent. Certains styles musicaux encouragent l’improvisation, ou les performances en solo, même au sein d’une chanson bien connue, et c’est comme entendre la mélodie ou les paroles de la chanson pour la toute première fois. Et si on pouvait vivre nos vies comme ça ? Envie d’entendre de nouveaux sons dans des airs familiers ? Ou entendre de nouvelles mélodies et les rendre familières ? Comment cette exploration du sens de l’ouïe à travers la musique et le son peut-elle inviter encore plus dans nos vies ?
Compétence hautement spécialisée, la musique n’est pas seulement pour le plaisir, mais aussi pour développer et aiguiser l’aptitude de l’esprit humain.
Pensez-y une minute. La musique n’est pas seulement aimée dans le monde entier, elle a aussi le pouvoir de vous aider à communiquer avec les autres. Au-delà des langues, des frontières et des nationalités. Le tube “Despacito” a été reconnu et apprécié même par les populations non hispanophones du monde entier.
La musique a toujours fait partie de ma vie, je l’ai toujours laissée entrer dans mon âme et me transformer. Je trouve que c’est l’un des moyens d’expression les plus faciles, il me détend et me ramène à la joie que je suis vraiment. Que nous faudrait-il pour que cette perception magique et ce sens de l’ouïe nous rapprochent de ce que nous sommes vraiment et améliorent notre connexion avec tout et chacun sur la planète ?
Lorsque nous sommes prêts à reconnaître toutes les nombreuses vibrations dont nous sommes conscients, nous pouvons entendre celles qui créent le son d’une toute autre manière. Son ampleur est stupéfiante, même lorsqu’une vibration n’est pas audible, nous pouvons ne pas l’entendre, mais nous pouvons quand même la percevoir. Quelle beauté de ce merveilleux sens de l’ouïe pouvons-nous reconnaître qui nous permettra d’étendre nos sens au-delà des limites de cette réalité ?



Kass Thomas




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À la découverte de vos sens – La vue

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Que signifie la vue pour vous ?
En lisant cette phrase, par exemple, reconnaissez-vous la manière magique dont les lettres se rejoignent pour former un mot ? Ou commencez-vous immédiatement à essayer de donner un sens aux mots sans jamais observer les lettres individuellement ?
Lorsque nous nous permettons de percevoir ce qui se trouve devant nous avec une nouvelle approche, nous engageons vraiment notre sens de la vue et profitons d’une foule de ressources que ce sens peut nous apporter. Il s’agit notamment de :
La beauté
Les couleurs
Les courbes
Les tailles
Les formes
La vue nous donne la différence entre la lumière et l’obscurité, entre les couleurs, les courbes et les visages. C’est le sens ultime qui guide et sous-tend l’utilisation de tous nos autres sens. Mais sommes-nous conscient de son importance ? 
Pour comprendre l’importance de la vue, il est utile de reconnaître que ce que nous voyons, a rarement à faire avec la vision de ce qui est vraiment devant nous. L’apparition de quelque chose déclenche souvent un souvenir particulier de cette vision et active en nous un sentiment ou une réaction dont nous ne sommes même pas conscients. Pourtant, nous vivons, toute expérience, à partir de ce sentiment ou de cette réaction. L’environnement physique d’un événement heureux, par exemple, peut provoquer en nous une excitation que nous ne pouvons expliquer. De même, le même environnement peut susciter la tristesse.
De quelle manière pouvons-nous jouir de la magie de ce que nous voyons dans le moment présent sans tout définir à partir des expériences passées ?
Voici un petit truc qui pourrait vous aider. Pensez à un incident qui est le plus fort dans votre mémoire. Il peut être heureux ou triste, mais c’est celui qui vous a le plus marqué. Vous comprenez ? Bien.
Ensuite, fermez les yeux. Lorsque vous fermez les yeux, recréer cette situation, et concentrez-vous sur l’aspect physique de celle-ci, plus que le son, l’odeur, le goût ou le toucher. Recréer les couleurs, les formes, les structures et la lumière. Concentrez-vous sur cela. Faites une observation mentale. 
Après cela, vous pouvez ouvrir vos yeux. After this, you may open your eyes.
Ecrivez tout ce que vous avez vu. Write down everything you saw. Si le soleil brillait, si la pluie rendait le ciel gris. 
Maintenant, la prochaine fois que vous verrez ces choses, remarquez simplement vos réactions. 
C’est ce que j’appelle le moment du choix. Au moment où vous reconnaissez que vous utilisez votre mental pour interpréter ce que vous voyez devant vous, vous êtes à l’apogée du moment du choix. À ce moment, vous pouvez choisir de continuer à créer votre présent en vous basant sur votre passé, ou vous pouvez choisir de ne plus le faire. 
Il est vrai que le mental est généralement enclin à la distraction. Mais quand nous reconnaissons cette tendance, nous pouvons alors choisir consciemment de voir ce qui est devant nous avec le regard neuf du présent sans le comparer au passé.  
Quelque chose de différent peut apparaître dans le présent et nous pouvons apprécier l’importance de la vue d’une toute autre manière. 
Qu’en est-il du futur ? Est-ce possible que la façon dont nous voyons les choses puisse aider à la création de notre futur ? 
La vérité, c’est que nous réalisons habituellement l’importance d’une chose quand nous ne l’avons plus. Pourquoi fermons-nous les yeux pour nous concentrer ? Quand nous méditons ? Parce que lorsque nous nous coupons de la vision, cela enlève les immenses éléments influents de l’environnement physique dans lequel nous sommes présents. 
Permettez-moi vous donner un exemple. Let me give you an example.
Le mois dernier, j’ai organisé un dîner prélude des 7 étapes dans un restaurant à Saint-Pétersbourg appelé “Dans le noir”, c’était littéralement dans l’obscurité.  Nous étions 12 et nous avons commencé à converser dans la lumière du hall en choisissant notre menu. Nous entrons dans la salle à manger sombre, où nous avons continué à parler. Peu à peu, en l’absence de lumière, les conversations initialement prévisibles ont commencé à se transformer en dialogues enrichissants sur des sujets inhabituels. Même si nous nous étions tous déjà rencontrés lors de mon atelier les 7 étapes, l’absence de lumière nous a incités à aborder chaque sujet avec une délicatesse et une curiosité authentique qui ont inspiré une atmosphère de première rencontre. La soirée s’intitulait “Au-delà du voile”, une des étapes de mon livre les 7 étapes vers une communication sans faille. A la fin de la soirée, lorsque nous sommes retournés à la lumière, nous avons laissé le don du sens de la vue renforcer la magie de notre expérience et continuer à créer un avenir sans pareil.
Les retour de cet atelier ont été fantastiques. Ils ont partagé comment ils peuvent, maintenant, voir les gens et les choses de manière nouvelle chaque jour, permettant à leur sens de la vue de leur offrir de nouveaux choix pour la création d’un avenir au-delà du voile de leur comportements passés. 
Et si nous pouvions simplement jouir de la beauté, des formes, des visage et de la conscience que nous recevons dans chaque chose grâce à notre sens de la vue sans les identifier et les comprendre au préalable ? Cela pourrait-il changer l’avenir que nous créons ?
Hmmm
Maintenant que nous sommes conscients de l’immensité et de l’importance de la vue, la question se pose : 
Quoi d’autre est possible ? Que pouvons-nous créer d’autre lorsque nous sommes prêt à vraiment reconnaître l’importance de ce sens de la vue ? 
Et bien, voici quelques rappels qui, nous l’espérons, vous aideront à explorer les possibilités avec le sens de la vue et vous ouvriront à une vision de l’avenir qui va au-delà de votre imagination la plus folle.

  1. 1. Soyez présent
    Intégrez pleinement et complète    ment votre environnement. 
De quelle nuance de bleu est le ciel aujourd’hui ? Est-ce que la rosée dans les feuilles les rend encore plus vertes?
Retracez les traits de vos êtres chers, avec beaucoup de détails. Cela vous aidera à être plus conscient et à remarquer et apprécier les choses que vous ignoriez auparavant.

  2. 2. Apprenez à faire la distinction entre votre vue et vos sentiments
    Lorsque nous mettons en corrélation ce que nous voyons et ce que nous ressentons, nous modifions sans cesse notre perception de cette vue et de ce sentiment.
    Reconnaissez que la façon dont vous vous sentez est basée sur un grand nombre d’éléments différents qui se rassemblent pour former une expérience et une émotion uniques. 
Appréciez-le comme une expérience distincte, et quand vous revivrez ces curiosités, soyez conscient qu’il s’agit aussi d’une expérience distincte et permettez-lui d’être nouvelle et différente.
3. Fermez les yeux. Parfois, simplement par vos yeux et en laissant vos autres sens contribuer à votre perception, ce que vous voyez quand vous ouvrez à nouveau les yeux peut prendre un tout autre éclat….la magie de la perception. 

En fin de compte, nous réalisons que c’est vrai : la vue n’existe pas seule. Elle trouve ses amis et son soutien dans tous nos autres sens aussi bien que dans notre esprit. Néanmoins, nous pouvons faire de notre mieux pour apprécier le don de la vue et profiter pleinement de sa valeur, même lorsque nous sommes Dans le noir.

Habituellement, nous n’utilisons la vue que pour confirmer le chemin que nous avons déjà décidé de prendre. Et si nous permettions au sens de la vue d’améliorer notre exploration de nouvelles possibilités au lieu de répéter les expériences passées ? 
Alors, comment pouvons-nous utiliser notre vue pour améliorer l’expérience du présent ?



Kass Thomas







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Quelle est votre relation avec votre corps?

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Nous sommes tous une combinaison de différents éléments. Ces éléments se lient, se séparent, interagissent et réagissent les uns avec autres pour construire la totalité de ce que nous sommes. Les éléments sont constitués de plus d’éléments et ainsi de suite. Par exemple, nos personnalités incluent nos compétences, nos sentiments et nos réactions.


Les différentes parties de “ VOUS ” ou “ MOI “ peuvent inclure nos personnalités, nos expériences et notre corps.
Dans ce blog, parlons de “ CORPS ”  et de trois autres choses à ce sujet, à savoir la prise de conscience, l’acceptation et notre appréciation de notre corps.


Votre corps est le meilleur indicateur de la façon dont vous vous sentez. Votre corps est la sortie que votre esprit utilise pour s’exprimer. Les corps nous donnent des signes. Ces signes peuvent être la joie, la tristesse et la colère, l’anxiété ou l’excitation. Si nous écoutons notre corps, nous savons ce que nous ressentons. Lorsque nous savons ce que nous ressentons à propos de certaines choses, nous pouvons agir de manière à faire des choses qui produisent bonheur et excitation ainsi qu’à éviter les choses qui aboutissent à de la tristesse ou de la colère.


Conscience


À quel point êtes-vous conscient de votre corps ?
Je ne parle pas seulement de théorie, mais aussi de sensation.
Nous savons combien de mains nous avons, mais savons-nous où nos mains sont à l’aise d’être placées lorsque nous sommes assis ? Quand nous dormons ou marchons ?


Nous avons deux jambes, mais comment bougent ces jambes quand nous courons ? Est-ce qu’elles se contractent quand vous êtes nerveux ?


Lorsque vous réalisez qu’une émotion forte se manifeste en vous, essayez de vous arrêter et d’écouter votre corps. Comment réagit-il, comment se comporte-t-il ?
Par exemple, lorsque vous êtes nerveux, votre cœur bat-il plus vite ? Commencez-vous à agiter votre genou ?


Vous pouvez également remonter la piste à partir des mouvements de votre corps. Si vous remarquez soudainement que votre main tremble anormalement, arrêtez-vous et réfléchissez à l’endroit où se trouve votre esprit à ce moment-là. À quoi pensez-vous, quelle pensée traverse votre esprit, puis dans votre corps et dehors ?


Acceptation


Acceptez-vous votre corps ?


Acceptez-vous chaque partie de vous, de votre esprit à vos pieds ? Ou évitez-vous d’y penser ? Et à l’autre bout du spectre, êtes-vous dans le déni de votre corps ?


L’image du corps est un sujet qui a occupé une place prépondérante au cours de l’histoire, qui existe dans le présent et continuera de faire partie de nos vies à l’avenir. Cela a à voir avec votre vision de votre corps et ce que vous pensez construit un corps “parfait” et, enfin, la différence entre les deux.
Nous devons accepter notre corps, car il fait partie de nous. La chose la plus importante à prendre en compte ne devrait pas être : “ Adhère-t-il aux normes de la beauté dans la société actuelle ? “. La bonne question à vous poser est la suivante :  “ Mon corps est-il en bonne santé ? Est-il heureux ? “


Les standards de la société en matière de beauté et de caractère physique sont devenus un amalgame de manipulation et de façade. Nous devons nous demander, qu’est-ce qui est beau ? À mon avis, la différence et la diversité sont belles, la santé est belle et la joie est belle !


Passez du temps avec votre corps, écoutez-le et vérifiez s’il est en bonne santé et heureux. Si c’est le cas, ne le torturez pas et laissez-le rester heureux, et laissez-vous être inclus dans sa joie.


Appréciation


Enfin, aimez-vous votre corps?


Votre corps vous permet de faire beaucoup de choses. Il est le moniteur de l’unité centrale qu’est votre esprit ! C’est le facilitateur de vos pensées et de vos rêves. Il  vous aime certainement, mais l’aimez-vous ?


Reconnaissez votre beauté unique et reconnaissez ce qui vous rend différent. Parce que ce qui vous rend différent est ce qui vous rend, VOUS.


Lorsque nous acceptons et aimons notre corps, il y a un “ clic “ immédiat que nous ressentons à l’intérieur. Tout comme le son que crée la clé quand elle entre dans le trou de la serrure, vous avez l’impression de vous être ouvert à une foule de nouvelles possibilités et opportunités. Si vous aimez votre corps, il vous donnera tant en retour.


Alors voilà ! Connectez-vous, interagissez et écoutez votre corps. Suivez son élan naturel et comprenez ce dont il a besoin et ce qu’il peut vous donner !


Kass Thomas




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Devenir le meilleur communicateur possible

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En tant qu’êtres humains, l’une de nos plus grandes capacités est la capacité à communiquer. D’autres espèces ont également leurs propres moyens uniques de communiquer, qui sont aussi très efficaces en soi.
De bien des égards, les humains ont un avantage, mais d’un autre côté, nous cédons à des pressions qui déforment notre message et ce que nous voulons communiquer.
La détermination a toujours avoir «raison», la cupidité, l’orgueil et d’autres motivations non productives font plus de mal que de bien à long terme. Ces éléments contribuent à un niveau de communication inférieur, qui conduit à l’opposé de ce que nous souhaitons de la communication et crée de la confusion.

Il est utile de penser à ce que nous voulons atteindre par la communication et de revenir depuis là vers ce à quoi l’on veut tendre.
Quel est le résultat souhaité de la communication ?
Je dirais que c’est la clarté, résultat final et, idéalement, une satisfaction égale pour toutes les parties concernées par cette communication.

Il y a plusieurs choses que nous communiquons :
1. Opinions / Pensées
2. Sentiments
3. Faits

Gardons à l’esprit que les deux premiers pourraient être nos propres opinions et sentiments ou les opinions et les sentiments des autres. Ces deux sujets de communication sont également subjectifs et diffèrent d’une personne à l’autre.

Maintenant, la question : comment pouvez-vous devenir le meilleur communicateur possible ?
La communication est une compétence qui est devenue hautement souhaitée, non seulement pour des questions personnelles, mais également pour les entreprises. Un bon communicateur peut être la différence nécessaire pour atteindre des objectifs personnels et professionnels.

Voici quelques façons, je m’observe moi-même et aussi ma communication :

1. ECOUTEZ d’abord, PARLEZ plus tard
Lorsque vous êtes en discussion avec quelqu’un, assurez-vous que le ton de la discussion penche davantage vers la “conversation” que vers l’ ”argumentation” dans l’échelle de communication.
Quand nous écoutons d’abord les autres, nous avons plus de chances de comprendre d’où ils viennent. Tout le monde pense avoir raison, car ils sont les seuls à comprendre la perspective qui leur permet de penser qu’ils ont raison.
Par exemple, A est végétarien. A veut une pizza à l’ananas et B veut une pizza au jambon. Si B écoute POURQUOI A veut commander une pizza à l’ananas (parce que A ne peut pas consommer de jambon), il se peut que B soit mieux à même de comprendre d’où vient A.
Alors écoutez et comprenez la raison pour laquelle la pensée de quelqu’un diffère de la vôtre.

2. Parlez CLAIREMENT et DOUCEMENT
L’un des moyens les plus simples de devenir un excellent communicateur et de vous assurer que les gens vous écoutent réellement: Parlez plus lentement.
L’une des principales raisons pour lesquelles la plupart d’entre nous se précipitent à travers nos mots est parce que nous avons peur de prendre trop de temps. Nous avons peur que quelqu’un nous coupe la parole ou ne veuille pas nous entendre. C’est une idée fausse, car les gens vous écouteront aussi longtemps que vous direz des choses auxquelles ils peuvent s’identifier. Alors, commencez par vérifier votre contenu en fonction de votre public. Si c’est le bon moment, prenez votre temps, avec quelques pauses et soyez à l’aise quand vous parlez.

3. N’entendez pas pour répondre, écoutez les autres
Beaucoup d’entre nous ont TOUJOURS une réponse prête. Nous abordons les conversations comme un débat et avons déjà imaginé toutes les réponses possibles. Nous créons une structure pour la conversation, sans même écouter ce que dit l’autre personne. Ceci est motivé par le besoin de toujours prouver que nous avons
“raison”. Mais réfléchissez-y, qu’est-ce qui est juste ?
C’est ce que nous percevons comme étant juste. Cela peut changer si nous entendons quelque chose de précieux de la part de quelqu’un autre, et cette information peut rendre notre perception du juste meilleure que jamais.

4. Faites preuve d’EMPATHIE et ne RABAISSEZ jamais
Nous avons également tendance à mépriser les gens lorsque nous discutons.
“Comment tu ne sais pas ça !”
“Vous vivez sur quelle planète ?”
Et le pire
“Je vous l’avais dis !”

Quand la communication est-elle devenue une arme ? Un outil utilisé pour prouver que nous sommes meilleurs ?
Au lieu d’envisager la chose de la sorte, si vous sentez que la discussion dévie, ÉDUQUER, ne devez pas CONDESCENDANT.
Le pouvoir d’offrir  plus de connaissances est plus grand que tout autre chose, et nous devons nous rappeler que tout le monde sait quelque chose que vous ne savons pas. Vous avez une plus chance de recevoir des autres si vous leur donnez généreusement.


Kass Thomas







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Vous connaissez-vous bien?

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En tant qu’êtres humains, nous avons tendance à porter des jugements sur le monde. Nous voyons et interprétons le monde en fonction de notre propre imagination et de notre compréhension de ce que nous percevons. Vous êtes perçu par les autres de la même façon.

Mais avez-vous déjà dirigé cette attention unique et personnelle sur vous-même ? 
Ce que j’ai découvert, c’est que la plupart d’entre nous ont une vision déformée et irréaliste de qui nous sommes vraiment. Nous regardons qui nous sommes, masqués par un voile de jugement et d’insécurité. C’est particulièrement vrai lorsque nous considérons nos “incapacités ou nos faiblesses”. 

Mais avant de poursuivre, permettez-moi de dire une chose : il est important de comprendre qu’en tant qu’êtres humains, nous recherchons toujours la validation ou l’acceptation.  Nous attendons peut-être cela de nos pairs, de notre famille, de notre patron, etc., mais c’est de nous-mêmes que nous en avons le plus besoin.

Concentrons-nous sur nos incapacités et nos faiblesses. Nous avons tendance à avoir plus de compassion et d’objectivité pour les incapacités et les faiblesses des autres, que des nôtres.

Une des raisons qui vient à l’esprit est que nous sommes plus impliqués émotionnellement (ces sentiments) quand il s’agit de nous-mêmes. La critique est dure pour nous, nous sommes sur la défensive et nous nous sentons mal à propos de nos incapacités et de nos faiblesses, elles nous font nous sentir moins que rien ou sans valeur.
D’après mon expérience en formation de team building pour le développement de projets dans mes ateliers Dancing with Riches, j’ai réalisé que souvent les gens ne veulent pas reconnaître les domaines dans lesquels ils ne sont pas compétents, ils le considèrent comme une faiblesse. Ils pensent que s’ils reconnaissent “ces incapacités”, ils nourrissent la flamme de leur faiblesse. Ce n’est tout simplement pas vrai !

Il est extrêmement utile de se connaître soi-même, de savoir ce que l’on sait faire et ce que l’on sait moins bien faire. Cela vous permet de toujours trouver le chemin pour surmonter vos faiblesses. 

Donc, c’est la partie qui peut “vous bouleverser l’esprit” :

Si vous n’êtes pas disposé à reconnaître et à prendre conscience des domaines dans lesquels vous vous considérez comme ayant “des incapacités ou des faiblesses”, alors vous résistez à la connaissance de ce dans quoi vous êtes bon. 

Et oui. C’est tout à fait juste.

Cette résistance ne vous laisse ni le temps ni l’espace pour travailler sur l’amélioration de vos compétences. Au lieu de cela, les gens essayent de trouver comment ils peuvent améliorer les compétences pour lesquelles ils sont faibles ou acquérir des compétences qu’ils ne possèdent pas. Ils sont tellement occupés à essayer d’améliorer ces choses qu’ils ignorent ce qu’ils savent faire de mieux et la possibilité de le faire encore mieux.
Vous vous refusez littéralement l’espace de pratiquer ce que vous faites de bien et devenir un expert.

Disons, par exemple, que vous êtes un sculpteur et que vous voulez un site web pour présenter votre travail et vous-même.  Vous engagez des consultants pour construire un site, comme vous n’y connaissez rien.. Cependant, vous devez maintenant écrire quelque chose sur vous et il y a une date butoire. Peut-être que l’écriture n’est pas quelque chose que vous faites bien. Vous avez du mal à accomplir cette tâche, à vous juger vous-mêmes, à essayer d’écrire une biographie, mais cela ne fonctionne pas (c’est une faiblesse). Vous continuez à le faire et à le faire en essayant de vous améliorer. Combien de temps et de ressources y consacrez-vous (peut-être jusqu’à 80 %) ? Combien de temps et d’énergie vous reste-t-il à consacrer à ce que vous savez bien faire, à ce que vous savez et à ce que vous ignorez (peut-être 20 %) ?

Vous voyez, si vous aviez demandé à quelqu’un d’autre de faire cette tâche (écrire), cela vous aurait donné le temps de produire plus de sculptures, de prendre des photos géniales de votre travail, de rencontrer des acheteurs potentiels ou peut-être d’étudier cette idée farfelue que votre ami a de votre sens des affaires (mais je suis un artiste oui, je le suis aussi) en rassemblant des artistes pour créer une galerie coopérative. Et combien d’autres possibilités ?

La résistance à reconnaître les choses pour lesquelles vous n’êtes pas bon et à accepter leurs soi-disant faiblesses ne vous permet pas de recevoir l’information sur ce à quoi vous êtes bon, sur vos forces.

Pensez à ceci :

Et si reconnaître ce que vous ne savez pas bien faire était une force ?

Ce qui est drôle, c’est que si vous y réfléchissez, ce ne sont que des informations. Être prêt à reconnaître où vous pourriez ne pas être au sommet de votre art est une information utile et vous offre deux grands cadeaux :

1. SAVOIR – Si vous n’avez pas une connaissance totale et complète de vous-même, vous ne pouvez pas utiliser toutes vos capacités et compétences à leur plein potentiel. De plus, cela vous permettrait de comprendre quel genre de personnes et de talents sont compatibles avec vous, une contribution pour vous et un complément pour vous, qui vous aiderait dans votre vie et votre entreprise. Ce que cela signifie, c’est “Quelles qualités allez-vous rechercher chez quelqu’un ou quelque chose qui va s’ajouter à votre vie ?

2. PRATIQUE – Cela vous permet de concentrer votre attention sur les domaines dans lesquels vous êtes bon et vous donne le temps et l’espace (si vous le souhaitez) pour les explorer plus en profondeur, pour accroître ce qui est positif. 


Again, if we don’t have the knowledge of ourselves, and the practice of being who we are, we cannot function to the best of our abilities.

So now is the time to start saying hello to your inabilities and weakness and see how they can contribute to your life.


Qu’avez-vous décidé comme étant une faiblesse à éliminer, que si vous l’embrassiez, deviendrait une force ou contribuerait à vos forces ?



Kass Thomas






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Avez-vous le courage d’avoir peur?

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Courage.
Ce mot est quasiment le meilleur compliment que l’on puisse recevoir concernant sa personnalité. C’est une compétence, une capacité qui était nécessaire dans le passé, qui est nécessaire aujourd’hui et qui sera toujours nécessaire à tous les êtres vivants et éléments pour atteindre vraiment la grandeur.


Mais qu’est-ce que le courage ? Qu’est-ce que cela signifie vraiment ?
Pour moi le courage est un terme subjectif. Il y a quelques temps, j’ai déménagé en Italie, j’ai déraciné ma vie pour recommencer ici. Pour la plupart des gens, déménager dans un nouveau pays, changer de carrière, de style de vie, de fréquentations (et ne pas avoir assez d’argent !), c’était une chose courageuse. Pour moi, c’était un choix, et non un choix difficile. Donc, dans ce cas particulier, j’ai été courageuse aux yeux des autres, mais à mes yeux, cela n’avait rien à voir avec le courage.


Vous voyez, nous avons du courage de deux façons :
  1. Quand nous sommes courageux à nos propres yeux

  2. Quand nous sommes courageux aux yeux des autres


Pour tout dire, la première est celle qui a du poids, car l’opinion la plus importante que vous devriez valoriser est la vôtre.


Quand nous sommes courageux envers nous, ou pour nous-mêmes, nous avons été honnêtes avec nous-mêmes sur ce qui est facile pour nous, et ce qui ne l’est pas. Être courageux, c’est aller au-delà de soi-même, c’est accomplir quelque chose d’extraordinaire.


Quand nous sommes courageux aux yeux des autres, un choix qui vient avec aisance et qui est dans le flux naturel des choses pour nous semblera comme un effort énorme pour les autres, car ils le voient de leur propre perspective et non la nôtre. Nous sommes tous différents. Ce qui est facile pour vous peut être difficile pour les autres et vice versa.


Comme toutes les capacités, le courage se développe, se nourrit, se crée et peut même être détruit et recréé. Quand nous naissons, nous avons le courage brut, à l’abri des expériences humaines. Au fur et à mesure que nous avançons dans la vie, accumulant cicatrices, victoires et connaissances, nous désapprenons et réapprenons le courage pour mieux nous adapter à nous-mêmes et aux circonstances que nous nous créons.


Il s’agit d’un vaste sujet et nous pouvons discuter en boucle des possibilités et des opportunités de courage. Mais il y a des aspects qui nous aideront à mieux le comprendre et à apprendre à mieux l’utiliser dans notre vie.


  1. Honnêteté
    L’honnêteté est l’une des valeurs inhérentes au courage d’une personne courageuse. Être honnête avec soi-même et avec les autres vous aide à comprendre vos propres capacités, et ce qui est un acte courageux pour vous, et ce qui ne l’est pas. Vous devez être honnête avec vous-même au sujet de ce que vous voulez vraiment réaliser et ensuite aller le chercher.

Nous devons considérer les situations telles qu’elles sont, et non telles que nous le pensons. Faire face à la réalité de la situation est si important pour choisir un chemin de vie qui mène au meilleur de vous. Nous devons apprendre à être présents, et non pas faire des projections passées et futures de nos expériences et de nos attentes, mais simplement être dans le moment présent et voir les choses telles qu’elles sont. Nous devons également nous débarrasser de tout jugement et de toute subjectivité dans notre façon de voir les choses. Pouvoir regarder la situation du point de vue de chacun, être vraiment empathique, est une véritable compétence qui conduit à faire des choix courageux, car elle nous conduit au choix qui crée du bonheur pour tous.

Nous devons aussi être honnêtes avec les autres afin de pratiquer le courage.
Comment encourager les autres à être courageux par l’honnêteté ?
Être complètement vous-même avec les autres, afin qu’ils puissent voir comment il est possible de faire de meilleurs choix, de faire des choix courageux quand on est honnête envers soi-même.

  1. Être libre de tout jugement
    Beaucoup plus facile à dire qu’à faire, une fois que nous nous serons débarrassés de nos jugements, il sera beaucoup plus facile de pratiquer le courage. Pour cela, nous devons faire une distinction claire entre jugement et observation. Nous observons ce qui est présent, mais nous jugeons sur la base des conclusions du passé.

Quand on juge, on se ment à soi-même. Cela nous amène à choisir quelque chose qui ne sera pas le meilleur pour nous ou pour les autres.

Et ce ne sont pas seulement nos jugements qui influencent nos choix, mais aussi ceux des autres.

Qu’est-ce que le courage dans la société ?
Le courage est déterminé par le jugement des autres. Ce que notre société juge courageux, nous l’acceptons comme un acte de bravoure. Revenons à l’époque où j’ai déménagé en Italie et changé de vie, d’autres le considéraient courageux, mais je trouvais ce choix naturel et facile à faire. Si j’avais laissé les jugements des autres influencer mon choix, je n’aurais peut-être jamais déménagé. Mais au lieu de cela, à ce moment-là, j’ai enlevé l’effet des jugements des autres sur mes actions et mes choix et j’ai vu la situation telle qu’elle était réellement : un choix qui venait avec facilité et qui était dans le cours naturel des choses pour moi.

Nous devons aussi accepter quand nous ne faisons pas un choix courageux. Apprendre d’une situation qui s’est déroulée différemment de ce que vous espériez, c’est aussi un choix courageux. Nous devons acquérir les connaissances nécessaires pour choisir différemment face à une situation similaire, et ne pas être forcés de réagir par défaut.


Donc le courage, en fin de compte, c’est exactement ce que vous pensez que c’est. Il est présent et ancré en nous, et dans les situations que nous créons pour nous-mêmes. Tout ce que nous avons à faire, c’est de le saisir.


Kass Thomas









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Est-ce que vous vous aimez?

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C’est une question que l’on ne nous pose pas souvent.


On nous demande :
Est-ce que vous aimez vos amis, votre famille ?
Est-ce que vous aimez ce que vous faites ?
Est-ce que vous aimez votre pays ?


Mais il est rare que l’on nous pose la question la plus importante de toutes :


Est-ce que VOUS VOUS aimez ?


La plupart d’entre nous ne se pose même pas cette question parce que nous avons cédé le pouvoir de nous légitimer à d’autres personnes. Nous ne reconnaissons pas l’importance de nous reconnaître nous-mêmes. Nous pensons que nous devons faire plus, ou être plus, ou que nous ne sommes pas ASSEZ. Et si “pas assez” n’était pas pertinent quand il s’agit de s’aimer soi-même ?


De plus en plus de personnes accèdent à la conscience que s’aimer soi-même est le point de départ pour être heureux dans cette vie. Lorsque nous fonctionnons à partir d’un espace d’amour de nous-mêmes, étonnamment, il devient beaucoup plus facile d’aimer et d’apprécier les autres. Nous devenons reconnaissants pour toutes les personnes et tout ce qui nous entourent. Sans cela, on ne peut trouver la paix et le calme, la motivation, la gentillesse et le soutien qui sont essentiels pour être vraiment heureux dans notre vie.


Et c’est amusant comme nous avons tendance à mieux traiter les autres que nous-mêmes. Généralement, nous sommes plus gentils, chaleureux, serviables et patients avec les autres que nous ne le sommes avec nous-mêmes. Cependant, nous espérons souvent qu’en faisant cela, ils nous remercieront et seront gentils avec nous en retour. Mais avec ces attentes, en réalité, nous donnons aux autres le contrôle et le pouvoir sur quelque chose que nous seuls pouvons vraiment revendiquer pleinement :


La capacité à nous reconnaître et à être bienveillant envers nous-mêmes.


C’est parce que nous le méritons, simplement parce que nous sommes qui nous sommes et non parce que nous avons dit ou fait quelque chose.


S’aimer soi-même n’est pas essentiel à la vie, comme manger ou respirer, où si on arrête de respirer ou de manger, on cesse d’exister. Cependant, cela rend tout ce que vous faites considérablement mieux et plus amusant. Si vous vous aimez, vous respirez mieux, mangez mieux, chantez et dansez mieux, et enfin, aimez les autres avec plus aisément. Finalement, vous aimer vous permet d’aimer et d’apprécier les autres, quoi qu’ils disent ou fassent.


VOUS CONNECTER À VOUS. Maintenant, tout cela soulève la question : Comment puis-je atteindre cet endroit où je m’aime, où je me reconnais et où je suis reconnaissant de moi ?


Et bien, la première étape pour y parvenir (comme beaucoup de choses dans votre vie) est de regarder en vous et de découvrir qui vous êtes.


QUI SUIS-JE VRAIMENT ?


La meilleure façon d’apprécier quelque chose est d’être prêt à en reconnaître la valeur. On ne demanderait pas à un homme de l’âge de pierre son opinion sur quel téléphone portable est le meilleur parce qu’il n’aurait aucune idée de ce que c’est et donc n’y verrait aucune valeur !!!


Nous aussi, nous avons cette tendance à rejeter ou à ne pas reconnaître les choses dont nous ignorons l’existence. Si nous ne savons pas qu’elles existent, nous ne les considérons pas comme précieuses. Donc, la première étape pour reconnaître votre valeur est :


CONNAISSEZ VOUS et RECONNAISSEZ VOUS


Familiarisez-vous avec qui vous êtes, connectez-vous avec vous, reconnaissez-vous et vous commencerez à voir la valeur en vous.


Cependant, si vous êtes à un point où vous ne voyez pas facilement ce qui a de la valeur en vous ou si vous pensez que RIEN à votre sujet n’a de la valeur, alors arrêtez-vous un instant et reconnaissez une chose :


En tant qu’être humain sur cette planète, je peux vous assurer qu’il n’y a PERSONNE sur cette planète qui est VOUS mieux que VOUS. Vous êtes unique et la meilleure version de VOUS qui existe.


À elle seule, cette qualité fait de vous quelqu’un de SPÉCIAL et de précieux qui mérite appréciation, gratitude et soins. Si vous êtes prêt à reconnaître cela à votre sujet, cela élargira votre réalité et mettra votre vie sur une voie différente. Vous êtes prêt ?


CHANGEMENT DE VOIES. Comment changer de voie ? Tout ce que vous avez à faire, c’est d’ouvrir les yeux. C’est bien cela, ouvrez simplement les yeux, regardez autour de vous et reconnaissez votre réalité actuelle. (Si vous n’aimez pas la réalité que vous voyez, il est possible que vous puissiez la CHANGER). Une fois que vous vous êtes reconnu et que vous avez reconnu votre réalité, vous pouvez commencer à choisir ce qui vous apporte de la joie, vous inspire et les choses que vous aimez faire qui vous dynamisent. Alors, quelles sont les choses qui vous apportent la joie ?
Quelles sont les choses qui vous inspirent et que vous aimez faire ?
Quelles sont ces qualités uniques que vous avez ?


Vous pouvez trouver les réponses à ces questions en faisant ces trois choses :
1. Regardez à l’intérieur 2. Observer 3. Entrez dans la prise de conscience


Regardez à l’intérieur – observez votre vie, essayez de vous concentrer davantage sur ” ce qui vous rend heureux “, plutôt que sur ce qui rend les autres heureux. Certes, parfois, le bonheur des autres vous rend heureux, mais la vérité est que tout commence par vous. Reconnaissez les capacités uniques que vous avez et qui vous rendent (et rendent les autres) heureux.


Observez – regardez vos actions et vos réactions. Quand vous regardez ce qui vous rend heureux, VOYEZ et NOTEZ ces moments de bonheur et reconnaissez ce que vous faites (et généralement ils viennent si facilement à vous que vous ne le voyez même pas). Quand est-ce que vous vous amusez, prenez plaisir à interagir avec les autres ? Qu’est-ce qui vous apporte de la joie dans ces moments et quelle contribution ÊTES-VOUS qui les fait se réaliser ?


Alors observez ces moments où vous n’êtes PAS si heureux. Peut-être lorsque vous vous sentez stressé ou sous pression. Comment agissez-vous lorsqu’il y a une date limite à respecter, par exemple ? Comment réagissez-vous dans une situation stressante ? Comment vous comportez-vous lorsque vous êtes sur scène, ou dans une situation où vous recevez beaucoup d’attention ? Maintenant, notez-les et remerciez-les pour le cadeau qu’ils sont pour que vous puissiez apprendre quelque chose sur vous.


Entrez dans la reconnaissance – Appréciez les qualités de ceux que vous aimez et reconnaissez-les pour leur splendeur. En tant qu’individu, il est difficile de se voir objectivement. La meilleure façon de savoir quelles sont les qualités plaisantes et celles qui ne le sont pas est d’observer et de noter les actions et les réactions des autres. Remarquez comment ils vous font vous sentir et reconnaissez quelles qualités chez les autres vous font réagir de façon positive et imitez-les (comme la générosité). Vous vous rendrez compte de ces qualités chez les autres parce que vous les avez, et souvent, vous ne reconnaissez pas les avoir fait VOUS-MÊME. Ces qualités sont tellement naturelles  pour vous, donc vous ne leur donnez aucune valeur. Intéressant, non ?


Enfin, reconnaissez quelles qualités chez les autres ne font pas ressortir ce qu’il y a de meilleur en vous, reconnaissez-les et remerciez-les de vous apporter cette conscience des choses qui ne vous apportent rien de bon dans votre vie.


Alors, trouvez-vous (regardez à l’intérieur de vous), appréciez les choses que vous aimez chez vous et chez les autres (observez) et reconnaissez-les. Maintenant, CHOISISSEZ (entrez dans cette prise de conscience) les qualités que vous avez identifiées qui vous apportent de la joie, vous rendent heureux et vous font vous aimer.


Ne l’ignorez pas, s’il vous plaît. Choisissez de l’utiliser pour créer une vie meilleure pour vous.


Souvent, tout ce dont nous prenons conscience peut faire surgir en nous des pensées, des sentiments, des émotions ou des jugements. Mais n’oubliez pas que c’est juste un point de vue intéressant que vous avez. Est-ce que c’est réel ? C’est le cas ? C’est une question de choix. Le choix, c’est la clé. Nous pouvons choisir des possibilités nourrissantes et les incorporer dans notre vie. De cette façon, cette connaissance s’étend au-delà de nous seuls – elle touche aussi les autres. Quand les choses vous profitent, vous aident à vous aimer, elles profitent aussi aux autres, et cela nous rend heureux de toutes parts.


CHOISISSEZ – de faire des choses et d’inviter des gens et des comportements dans votre vie qui vous encouragent à vous aimer. Pensez aux gens que vous aimez, aux choses que vous aimez faire, aux activités que vous aimez faire, aux chansons que vous aimez chanter. Et n’oubliez pas votre corps – bougez-le davantage et faites-lui savoir que vous l’aimez aussi ! Une personne qui s’aime elle-même dégage une énergie particulière et invite plus d’amour non seulement dans son monde mais aussi dans celui de tous ceux qui l’entourent. Et c’est le vrai cadeau de la chose. Reconnaissez-vous, aimez-vous et apportez cet amour aux autres et au monde qui vous entoure !


Quand vous vous aimez, vous changez le monde.



Kass Thomas






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Avez-vous le courage d’arrêter, de commencer, de continuer ou de changer votre vie?

~ BlogEditor01 ~ 1 Comment

L’un de mes sujets de discussion favoris – vous transformer en la meilleure version de vous.
Avant de commencer, examinons la question suivante : faut-il du courage pour changer sa vie ?

Se changer exige de prendre une série de décisions qui ne sont pas vos choix implicites. Si vous avez vécu un certain mode de vie, votre corps et votre esprit créent des réactions naturelles aux situations et aux personnes. Une fois que vous décidez de changer votre vie, vous devez commencer à prendre consciemment des décisions qui ne sont pas naturelles, qui ne sont pas automatiques et qui ne viennent pas avec une relative facilité.
Le courage est nécessaire lorsque nous faisons des choix qui ne nous viennent pas spontanément ; il est donc nécessaire lorsque nous décidons de changer nos vies et de nous transformer en la meilleure version possible de nous.

Comme tout changement, la première étape consiste à reconnaître et à prendre conscience du moment où nous devons changer notre façon de vivre et si nous devons le faire. Comment fait-on cela ? Voici quelques questions qui pourraient être utiles.

  • Êtes-vous heureux et satisfait ?

  • Sentez-vous que vous êtes plus présent dans votre cœur, ou plus présent dans votre esprit ?

  • Êtes-vous constamment en train de vous juger vous-même et de juger les choix que vous faites ?


Si vous répondez que vous êtes content, que vous choisissez avec votre cœur plus qu’avec votre esprit, et que vous êtes libre de tout jugement, félicitations ! Vous vous en sortez très bien.
Si ce n’est pas le cas, il vous est alors possible d’y arriver, avec un peu de réflexion personnelle et de courage.

Une autre façon de savoir que vous avez besoin d’un changement est lorsque vous n’êtes pas convaincu à 100 % de la décision que vous prenez. Si vous avez le choix de travailler avec une entreprise riche ou avec une société pauvre, assurez-vous de faire le choix qui vous convainc le mieux. Par exemple, si vous choisissez de travailler avec les pauvres, assurez-vous qu’il s’agit du foyer le plus heureux qui soit, et que vous faites de votre mieux pour les aider. De même, si vous n’êtes pas convaincu à 100 % d’une situation que ce soit une carrière, une relation ou même un endroit où aller dîner, prenez conscience que vous devez vous arrêter et réfléchir. Que faudrait-il pour prendre une décision dont vous êtes convaincu à 100 % ?

Mais vivre votre meilleure vie ne signifie pas seulement abandonner tout ce que vous avez fait jusqu’à présent, et ce que vous appliquez actuellement. Cela signifie avoir le courage d’être capable de voir votre réalité telle qu’elle est et de faire le choix d’arrêter, de commencer, de continuer ou de changer votre vie.

  1. Arrêter

Lorsque nous sommes dans une motion, il nous est difficile de nous arrêter, de regarder autour de nous et d’observer. L’examen d’une situation est difficile, parce qu’il crée la possibilité d’un mauvais bilan. En tant qu’individus, nous voulons avoir confiance dans le choix que nous avons fait précédemment et qui nous a permis d’en arriver là où nous sommes aujourd’hui. Mais nous devons trouver le courage de nous arrêter et de regarder autour de nous.
Le choix que nous avons fait plus tôt est-il à notre avantage maintenant ?
Pouvons-nous être mieux lotis ?

Poser ces questions nous aide à éviter d’être bloqués sur notre chemin, les épaules chargées du poids de l’épouvantable “Et si ?“
  1. Commencer
    Commencer quelque chose de nouveau demande du courage et de la foi. Cela requiert que nous commencions et que nous soyons prêts à nous arrêter si la situation n’est plus favorable.

  2. Continuer
    Parfois, il nous est plus facile de laisser tomber ce que nous faisons habituellement, parce que cela semble plus difficile en ce moment. Nous devons réaliser qu’un choix difficile en ce moment pourrait mener à une vie meilleure dans un avenir proche.

  3. Changer
    Changer ne signifie pas changer radicalement. Nous devons prendre conscience des aspects de notre vie qui nécessitent un changement et de ceux qui doivent rester intacts. Nos vies sont une série et un ensemble de choix qui mènent à un grand résultat. Choisissez cette perspective de décisions qui vous mène au résultat où vous êtes la meilleure version que vous pourriez être de vous-même.


Il est également important de se rappeler que la transformation de votre vie est un processus progressif qui est le résultat et la somme de petits choix. Chaque petite chose compte pour faire un grand changement. Tout ce que nous avons à faire, c’est d’examiner l’univers à la recherche de toutes les possibilités qu’il nous offre. Si vous voyez une ouverture qui vous plaît, saisissez-la. Trouvez ce qui vous inspire non seulement pour exister mais aussi pour vivre vraiment.




Kass Thomas









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Destinée ou choix? Tout dépend de vous

~ BlogEditor01 ~ Leave a comment

Comme une impression de déjà-vu. Quand je suis arrivée chez moi à Rome à la fin du mois de juillet – après deux mois de voyage et de travail acharné – j’étais très excitée à l’idée de commencer un voyage d’un mois avec mon mari, en ayant un peu d’aisance, de joie et de gloire ensemble. V-A-C-A-N-C-E-S ! I

La dernière fois que nous avons passé autant de temps ensemble, c’était au printemps de cette année. Juste avant Pâques, je suis rentré chez moi, impatiente de faire un voyage de 7 semaines avec lui. Notre plan était d’avoir 10 jours à Rome, puis de partir en safari en Afrique du Sud pendant deux semaines pour célébrer nos 20 premières années de mariage.

Cette fois-ci, en août, notre plan était de rester en Italie et de profiter de ces vacances à l’italienne : s’amuser à Rome avec des amis, avant de partir à la mer pour jouer au tennis et passer quelques jours en famille et aller à la plage chaque jour ensemble. 

Que savez-vous des projections et des attentes ? 
Leur permettons-nous de nous conduire sur la voie de la séparation, du jugement et du rejet ?

La dernière fois, au printemps, le premier jour de mon retour à la maison, nous avons fait une promenade en moto le matin à travers Rome. C’est ce qu’on appelle ” une balade romaine “. Puis mon mari est parti jouer au tennis dans l’après-midi et nous avions prévu une soirée ” balade romaine ” plus tard dans la journée. Les plans les mieux conçus….

Au lieu de faire une promenade en soirée comme prévu, il est rentré à la maison dans la douleur et a été bloqué sur le canapé avec un sac de glace sur le mollet droit. Il s’était blessé à la jambe en jouant au tennis. Oups ! Il a fait deux ou trois échographies et finalement nous avons découvert que ce qu’ils avaient diagnostiqué à l’origine comme étant une élongation musculaire s’est avéré être une thrombose veineuse. Cela l’a empêché de voyager en avion pendant deux mois.

Nous avons donc dû annuler notre voyage d’anniversaire en Afrique du Sud. Pas de safari, pas de vacances. C’était sept longues semaines de nervosité et de peur que la veine ne cause un arrêt cardiaque et ne le tue peut-être. Heureusement, tout s’est bien passé : il n’est pas mort et maintenant la thrombose veineuse est disparue. 

Cette fois-ci, 3 mois plus tard, mon mari jouait au tennis, alors que mon vol atterrissait à Rome. Notre plan était qu’il finisse de jouer, qu’il s’arrête pour prendre quelques friandises pour le dîner, et qu’il rentre à la maison à temps pour me rencontrer avec du poisson frais et du bon vin blanc italien – la façon parfaite de célébrer le début de nos vacances d’été ensemble dans notre magnifique jardin. Nous avons dîné, d’accord, c’est une évidence en Italie, mais ce n’était pas exactement ce à quoi nous nous attendions.

Vous voyez, il est rentré à la maison un peu plus tard que prévu, non pas parce qu’il s’était arrêté pour prendre quelque chose à dîner, mais parce qu’il avait passé une heure dans les vestiaires du club de tennis avec un sac de glace à la cheville. Il s’était tordu la cheville gauche. Il a passé les jours suivants à essayer d’obtenir un rendez-vous pour une échographie.

Cette première nuit à la maison, alors que je lui mettais de la glace sur la cheville, j’étais ÉPUISÉE, et il était en SOUFFRANCE, TRISTE et IRRITABLE.

Disons simplement que ce n’était pas exactement le début des vacances que nous attendions.

Nous avons commencé à nous rappeler l’été dernier quand il a eu une situation similaire, pendant nos vacances ensemble en août au bord de la mer. Il avait joué au tennis et s’était blessé à la cheville, il avait eu quelques semaines de douleur et de souffrance. En fait, nous avions dû écourter nos vacances.

Ce souvenir nous a mené à d’autres souvenirs. Je me suis souvenu de nos toutes premières vacances ensemble, plus de 20 ans auparavant, lorsque je vivais encore à New York. Avant de prendre l’avion pour venir me voir, il s’est blessé et est venu à New York en boitant avec des béquilles !!!!! Lui aussi a commencé à se souvenir d’autres moments où sa cheville ou sa jambe avait été blessée pendant les vacances.

Hmmmmmm. Avons-nous remarqué un schéma ou avons-nous alimenté les feux du drame et des traumatismes ?

C’est tellement intéressant de voir comment nous commençons à nous remonter le passé, à compiler des données pour arriver à une décision : peut-être que les vacances ensemble ne sont pas une idée si saine.

Ce qui est drôle, c’est qu’il ne s’agit pas de moi. Où est-il dans l’équation ? C’est lui qui souffre et tout ce à quoi j’ai pu penser pendant ces 10 secondes pendant cette première nuit à la maison, c’était “POURQUOI MOI ?”

Inspire profondément et compte jusqu’à dix.

Le lendemain matin, grâce à ma nature positive, mes années de vie dans la question et de travail avec les outils d’Access Consciousness et, avouons-le, une bonne nuit de sommeil, nous sommes partis d’un autre pied, sans faire de plaisanterie.

J’ai aussi (enfin !) commencé à utiliser les outils d’Access, à poser beaucoup de questions et à ouvrir différentes possibilités.

J’ai fait un travail corporel énergique sur sa cheville et, comme il est alchimiste avec son corps, il a commencé à déplacer des choses aussi dans son esprit et ensuite dans son corps. 

J’ai posé ces questions :
“Qu’est-ce qu’il y a de juste là-dedans que je ne comprends pas ?”
“Quelle est la leçon ici ?”
“Qu’est-ce qu’il a ?”
“Quels énergie, espace, conscience et choix puis-je être et faire pour créer plus ici ?”
“Et si j’étais prête à suivre le flot et à permettre à TOUTE la vie de venir à moi avec aisance, joie et gloire ?”
“Est-ce que cela accélérerait la guérison ? Ou éliminer le drame et la douleur ?”

Il est tellement intéressant de voir comment les projections futures peuvent nous mener sur la voie du blâme, de la honte, du regret et de la culpabilité quand les choses ne se passent pas comme nous l’espérons…

Ce sont toutes les façons dont nous nous distrayons de vivre le moment présent, d’aller de l’avant et d’en créer davantage, quoi qu’il arrive.

Est-ce notre point de vue, notre perspective, qui crée la réalité que nous vivons ?
Laissons-nous nos projections et nos attentes influencer notre façon de voir le monde et de vivre notre vie?
Sommes-nous prêts à toujours voir le bon côté de la vie, peu importe ce qui se manifeste dans notre vie?
Pouvons-nous simplement être reconnaissants d’être encore en vie et capables d’avoir une perspective?  

C’est vraiment un choix.


Kass Thomas





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